vendredi 30 novembre 2007

La bonne blague !






Première expérience en tant que "demandeur d'emploi" (en attendant l'éventuelle poursuite de mes études tant espérées du côté du journalisme).


  • Inscription en règle sur le site des Assedics le 27 Novembre, puis sage attente du fameux courrier précisant les conditions du premier rendez-vous à l'ANPE.
  • Vendredi 30 Novembre, réception du "fameux courrier".


Bonne partie de rigolade, comme on dit !


Explications et preuve à l'appui :

  • Le numéro de téléphone de l'Agence (qui, en outre, se situe à Trifouillis-Les-Oies alors que je suis à cinq minutes du centre-ville) : 00.00.00.00.00. Original !!





  • La date du rendez-vous.... MYSTERE - et boule de gum.
  • L'heure du rendez-vous... MYSTERE -et démerdez-vous.






  • Et enfin, la signature du Directeur d'Agence.

De quoi ? Quelle signature ? Vous n'imaginez quand même pas que le Directeur d'Agence va prendre la peine de signer cette convocation !!








... ?



Merci l'ANPE, j'ai bien ri ce matin ... !

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mercredi 28 novembre 2007

Il me manque...

... "ça" me manque. Ses réflexions me manquent. Ses vérités me manquent. Jean-Jacques Delfour me manque !




"Professeur de philosophie en CPGE Lettres et ESC (blablabla)" et surtout, encore et toujours, professeur de cette matière tarabiscotée intitulée "Psychosociologie de la Communication" pour faire joli dans le cursus de l'étudiant en publicité, histoire qu'il ne soit pas condamné à élaborer des stratégies marketing toute sa vie (si toutefois il se voit un jour confier l'élaboration d'une stratégie marketing) sans un regard critique préalable.

Bête à dire / à écrire, mais que ne donnerais-je pas pour assister à nouveau, quelques heures par semaine, à ses cours soporifiques pour les uns, passionnants pour les autres (ou l'autre)... (comme dirait l'autre).


Voici pour mon petit plaisir un extrait d'un de ses articles, une de ses réflexions intenses mais non moins passionnante et publiée dans La Libre Belgique du 11 avril 2007.


Attention.. criant de vérité.


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L'internet, mer castratrice.


Il est politiquement incorrect de le dire. L’internet est pourtant nocif : il amplifie l’absence du monde induite par la télévision, dont il n’est qu’une variété développée. L’illusion de révolution technologique masque la réalité d’une régression infantile encore discrète. En effet, l’internet détruit la structure du signe, rend impossible l’éducation, propose l’éternité à la place de l’immortalité, aggrave l’inexpérience du monde, l’isolement des individus et l’infantilité de l’adolescent, assure une domination inapparente de la machine. La télévision immobilisait, l’internet castre. [...] De même, l’internet n’est qu’une sorte de télévision : une pseudo vision à distance dans laquelle des simulacres électroniques sont apportées sur l’écran de l’ordinateur. À une différence près : l’apparence d’activité. Le zappeur semblait passif. L’internaute croit naviguer : il s’imagine choisir et décider. Mais cette navigation est illusoire et multiplement destructrice.

Ruine du signe. Le signe demande à renvoyer toujours à autre chose que lui-même, certes. Mais ce mouvement de renvoi n’est ni automatique ni infini. L’hyperlien ne cesse de renvoyer indéfiniment à un autre que lui-même, dans une absence manifeste de cohérence. Le champ des signes linguistiques est un réseau qui suit des logiques diverses mais compréhensibles (syntagmatique, paradigmatique, étymologique, historique, contextuel, etc.). Le fonctionnement des hyperliens est arbitraire, souvent trompeur, en tout cas, mécanique et incohérent, voire pervers. Un enfant, à la recherche d’une règle de grammaire, peut aboutir à un site pornographique ; un étudiant d’histoire à un site négationniste. [...]

Empêchement de l’éducation. Celle-ci consiste à conduire hors de l’enfance, pour aller à la rencontre du monde réel, armé d’outils appropriés. L’affirmation ministérielle, dénuée de tout fondement et démentie en permanence, que la connaissance se trouverait dans l’internet et pas à l’École, a favorisé la croyance qu’elle gisait ailleurs, jamais ici, chez les autres, jamais en soi-même. [...] L’infinité du réseau – des milliards de pages doit-on s’extasier – discrédite tout effort de constituer, dans son esprit, un viatique estimé infinitésimal. Quelle folie pourtant que juger son esprit à l’aune d’une grosse machine bricolée dont l’unité est seulement technique, la plus grande hétérogénéité régnant sur les contenus.

Congédiement de l’événement. L’infinité virtuelle de l’internet accroît fâcheusement une illusion proprement adolescente : se croire éternel – désir qui semble s’étendre à tous, plus personne ne voulant vieillir. L’adolescent, qui désire conserver l’enfance sans ses inconvénients, peut trouver dans l’infinité virtuelle des milliards de pages, qu’une myriade de vies ne suffirait pas à parcourir, une sorte d’image, spéculaire mais objectivée dans la technologie, de son propre désir d’éternité. [...] Travailler et œuvrer à une grande chose digne d’être transmise, c’est fabriquer de l’immortalité, familiale, sociale, politique, scientifique, etc. L’activité de dilution indéfinie dans l’internet, disséminée dans des gestes sans réalité, sans effet sinon minuscules, au sein d’un océan présumé infini, est une sorte d’éternité factice, stérile et lisse.

Raréfaction de l’expérience du monde. L’internet, c’est certes la disparition de la communication au profit d’une simple connexion, la perte de cette situation commune où sa propre parole et celle de l’autre s’articulent, se frottent et s’affrontent. [...] Conséquemment, l’adolescent et avec lui l’homme technophile et jeuniste ne font plus l’expérience du monde en première personne. Leur inexpérience du monde s’accroît en même temps qu’elle devient invisible : elle est masquée par l’activité frénétique de l’internaute qui ne s’aperçoit même pas qu’il ne navigue nulle part.

Ainsi, englué dans une immobilité travestie en agitation connective, figé dans des prospections statiques, collé à des écrans irréels et fascinants, l’adolescent croit exister en tripotant son clavier et en stimulant sa souris. [...] L’internet lui ôte toute force réelle, toute capacité d’affronter la réalité : larve gigotant dans un désert de palissades colorées, épuisé avant que d’être, il régresse en somnolent dans une fœtalité arrangée par les machines en berceau mental.

L’adolescent, dont l’esprit est connecté et la volonté castrée, est comme la cellule neuronale d’un immense cerveau technologique, petite partie d’une mère océanique, dans laquelle il peut s’assoupir en paix, délesté de son propre corps et de la réalité anguleuse du monde...


Jean-Jacques Delfour.


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mardi 27 novembre 2007

Ça tue !

Info www.toulouse.fr
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Après les chocolats, la glace !

Le 5 janvier, le Capitole passera aux joies de l’hiver en accueillant une patinoire en plein air jusqu’au 2 février. Grande de 30 mètres sur 20, elle permettra aux petits comme aux grands de découvrir les joies de la glisse. Elle sera ouverte de 10h à 21h et en nocturne jusqu’à 22h le samedi et le dimanche. Des patins sont prévus à la location : 3,50 euros pour une demi-heure.

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Avis aux courageux :) ... Je suis prête !

mercredi 21 novembre 2007

L'important, c'est de pomper.




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Corse, 8 Août 2007.



And the winner is ...



PEDROLINO !


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Comment Monsieur DeDieu, résidant rue de la Vierge, à quelques pas de la rue Sainte Hélène, pouvait-il échouer au grand jeu organisé par RTL2, offrant au plus rapide auditeur de Pop Rock Station by Zegut une magnifique guitare Gibson ?


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Non, ce n'est pas celle que Paul MacCartney tient fièrement dans ses mains, mais sans doute un peu la même, à quelque chose près ;) ;)

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L'instant d'une soirée, j'ai ressenti à nouveau ce petit rien indescriptible qui nous habite lors de l'attente d'une réponse au bout du fil... Cette joie enfantine d'être le/la gagnant(e) ... (joie ressentie à 4 ou 5 reprises depuis 2002... : l'intégrale de mon ami Lenny, une invitation pour sa session accoustique, 4 Concerts Privés dont 2 voyages à Paris, - Lenny, Jean-Louis Aubert, Ben Harper... l'abonnement-gagnante-RTL2, en somme).


Cette fois, ce n'était pas moi. Non ; moi, j'étais la coach ! "Bon, Pierre, tu as compris ; dès que tu entends les premières notes, tu appuies sur la touche 1!".


S'en suivit un cri de bonheur que tout Paris a dû entendre depuis le combiné téléphonique, tellement notre musicien Pedrolino se trouvait dans l'extase d'être le futur propriétaire d'un instrument mythique...
Hé bien moi, je suis bien contente d'être la marraine d'un nouveau gagnant d'RTL2 !




Tu vois Pedro, tu n'as pas rencontré Ben Harper mais... quel joli cadeau de compensation :) !

Excuses publiques.

Il y a quelques mois, (ou quelques semaines), j'ai publié un article rendant hommage à l'amitié qui nous unie depuis 5 années, Lisa et moi. Il s'intitulait Ode à la Tchéquie.

Souhaitant illustrer cet article d'un moment commun et "fort" de notre vie lycéenne et amicale, j'ai publié cette petite photo :




Oui, cet arbre était un peu notre arbre attitré, notre point de rendez-vous, notre "QG", notre phare au milieu de la nuit, notre meilleur compagnon lors des pauses déjeuner...

Bref.

Ce matin, cet acte primitif et sûrement ancestral qui consiste à "graver un coeur sur un arbre" a choqué une âme sensible, qui s'est empressée de me remettre les pendules à l'heure... du respect environnemental.

Voilà ce que l'inconnu de Greenpeace a tenu bon de me préciser, non sans une certaine virulence... :

<< Et si on te faisait la meme chose sur les jambes ça te plairait? faut penser que graver sur le tronc d'un arbre fait une ouverture sur l'ecorce donc certaines bestioles peuvent y venir ou d'autres choses et cela peut apporter une maladie a l'arbre et a force le faire mourrir. >>

Il faut savoir, Monsieur Green, qu'à la place de ce "coeur" était gravé un mot que nous ne supportions plus de voir apparaître sur ce tronc innocent. En effet, il s'agissait d'un gros "FUCK" digne des plus grandes trouvailles d'Art Rupestre.
Mon amie Lisa et moi-même, dans la plus grande candeur, avons décidé de mettre un terme à cet affront quotidien... en éliminant cet acte grossier de la façon la plus pacifique qu'il soit.

L'amour a remplacé la haine sur cet arbre.

Alors certes nous avons eu tort d'infliger une souffrance supplémentaire à notre ami en décidant d'ajouter nos signatures.... Peut-être qu'à cause de nous, des bestioles se sont infiltrées dans l'écorce, ont provoqué une maladie, et que l'arbre de notre pacte d'amitié en est aujourd'hui mort. Cela me causerait, sans ironie, beaucoup de peine. Je souhaite m'en excuser.

En outre, j'irai moi-même vérifier l'état de santé de cet arbre lors de ma prochaine visite au lycée Raymond Naves (il va falloir que je trouve une bonne raison pour pénétrer dans l'établissement, un appareil photo à la main, devant un tronc d'arbre).

En conclusion, je ne pense pas qu'il y ait eu besoin de s'offusquer de la sorte :)

N'y a t-il pas de lutte écologique plus importante que la protection des arbres d'établissement scolaire contre les actes sauvages et criminels de gravure de coeur ??

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mardi 20 novembre 2007

Addicted to YOU TUBE

On ne sait plus quoi inventer :)

C'est pas joli-joli ...

BO Coldplay - "How You See The World"

... De quoi être optimiste ! ...


Cherry Ghost - "People Help The People"

Lenny's back !

Lenny Kravitz - "I'll Be Waiting"

A Fine Frenzy - "Almost Lovers"

Sortez vos mouchoirs,

et remercions Pop Rock Station by Zégut pour cette jolie découverte musicale !

dimanche 18 novembre 2007

Tiens, un prompteur !

Je m'baladais, sur l'avenue, le coeur ouvert à l'inconnu ...








(c) ElenaSousl'ArcheMarengo




Et hop, un prompteur derrière la vitre ! Vraiment chez Télé Toulouse, ils sont pas discrets. Moi qui croyais que la jeune présentatrice de la météo improvisait... Moi qui croyais que chez TLT, ils n'avaient pas les moyens de s'offrir un prompteur et ainsi rivaliser avec Evelyne Dhéliat, Catherine Laborde ou encore Laurent Romechko, pff.

En tout cas, bonne conclusion, je n'aurais pas dit mieux : "Merci de votre attention et surtout bon dimanche à tous !!".

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VélôToulouse ... Comme un air de déjà vu

Toulouse a désormais son système automatisé de location de vélos : « VélôToulouse ».




(c) Elena - Toulouse Capitole - 16 Novembre 2007

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60 stations sont ouvertes dans le centre-ville depuis le vendredi 16 novembre.

135 stations et 1470 vélos seront en libre-service, en janvier 2008, dans le périmètre du grand centre-ville, dessiné par le Canal du midi et jusqu’à St-Cyprien.

La montée en puissance se fera progressivement, à raison de 10 nouvelles stations par semaine, pour atteindre 253 stations et 2 400 vélos sur tout le territoire de la ville en avril prochain.

Le principe est simple : louer un vélo 7j/7 et de 6h à 1h du matin, à une station automatique, se déplacer, et le reposer à la station la plus proche de son point d’arrivée. L’intérêt est alors d’avoir un maillage cohérent et régulier : les stations seront distantes de 200 à 300 mètres, à proximité des stations de métro et arrêts de bus, des universités et commerces ou des administrations.

La première demi-heure gratuite.

Ce concept qui a fait mouche à Lyon et plus récemment à Paris, allie un moyen de transport sûr avec un vélo robuste, à une simplicité d’utilisation. Un autre atout est son coût modique puisque, avec ou sans abonnement, la première demi-heure est gratuite et la seconde à 0,50 centimes d’euros.


(infos http://www.velo.toulouse.fr/)

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Moi je dis... c'est bien joli tout ça, mais n'oubliez pas vos moufles ! (assorties, si possible).

Passé l'effet mode, verrons-nous beaucoup de toulousains enthousiastes, pédalant dare-dare une brisée glaciale dans la figure... ?

A suivre !


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Ci-dessous, quelques cousins éloignés... : une station Velib' à Paris, de nuit, quartier des Ternes.



(c) ElenàParis

Paye ton masque Biguine !

Blonde forever, ai-je décidé. (Ou du moins, pour un mois encore. Chez moi, le "forever" est relatif !).


Et qui dit blonde, dit entretien !

Qui dit entretien, dit panoplie de soins !

Qui dit panoplie de soins, dit ...


John !



John FRIEDA, mesdemoiselles messieurs !


Extrait de sa biographie (officielle, s'il vous plait) :


John, décidé à toujours aller de l’avant, a pris très à cœur la devise de son père : «Plus tu travailleras, plus de chance tu auras». Son succès ne se dément ni dans les salons ni dans les rayons capillaires du monde entier. Après bientôt quatre décennies consacrées aux cheveux des femmes, une vérité s’impose : « Personne ne connaît mieux les cheveux que John FriedaMD ».


Alors là, ça m'en bouche un coin ! John connaît encore mieux mes cheveux que moi. Parfait. Après "Qui mieux que Renault peut entretenir votre Renault ?", je propose tout naturellement : " Qui mieux John Frieda peut entretenir vos cheveux blonds ? ".


Fini, donc, ma relation très platonique et purement intéressée par "l'envie d'aller voir ailleurs", - de retrouver la folie, la passion, la découverte de l'inconnu... - en l'occurence du côté de chez Dessange. J'ai vécu une belle idylle avec Jean-Jacques, mais comme on dit, on revient toujours à ses premiers amours (en tout cas, je l'ai déjà entendu quelque part).


Et mon premier amour de blonde, c'est signé Frieda. Il a tout compris du premier coup. "SHEER BLONDE, le premier soin pour cheveux fins, délicats, longs et blonds". Tout ça pour moi, non c'est trop !! Le coup de foudre chez PARASHOP. Mon porte-monnaie, lui, n'a pas trop accroché... (bizarre), mais qu'importe. Je le voulais, je l'ai eu. Je l'ai quitté, il m'a manqué. "Quand on s'est connus, Quand on s'est reconnus, Pourquoi se perdre de vue, se reperdre de vue, Quand on s'est retrouvés, quand on s'est réchauffés, Pourquoi se séparer ?"


Bonne question, Serge ! Moi, j'ai fait mon choix :) "Et tous deux on est repartis, Dans le tourbillon de la vie !"


Mais revenons à nos moutons...


Ce n'est pas qu'un homme, que dis-je, un mythe des salons de coiffure dans ma salle de bain ne suffise pas, mais il manquait quelque chose, dans l'absolu, pour combler mes envies de blonde en quête d'épanouissement capillaire.


Un MASQUE. Un Shampooing de blonde, ça, c'est la base. Un Après-Shampooing, chez la blonde aux cheveux longs, se révèle plus que nécessaire. Mais ce qui n'est pas superflu, chez la blonde aux cheveux longs fragiles, c'est un petit masque soin "raviveur de couleur" au beurre de Kokum !! (Le beurre de kokum, aussi connu sous le nom de graisse de noix de Gurgi, est obtenu des amandes des fruits du Garcinia indica, arbre qui pousse en Inde. Il est utilisé en remplacement du beurre de cacao. Il est parfait pour les applications cosmétiques et peut être incorporé en pourcentage important aux préparations ou utilisé seul directement sur la peau.)


Et comme tout homme qui se respecte admet un point faible, chez John, il faut reconnaître que les masques-soins, c'est pas son fort.


Allez, une petite entorse à la règle... J'emprunte les talents de Jean-Claude.


Jean-Claude, c'est Monsieur BIGUINE.



Les jeunes filles aux cheveux (malheureusement) crêpus lui sont reconnaissantes d'avoir innové dans la gamme des lisseurs à action thermique pour se doter en un instant (plus objectivement, comptez 30 minutes) d'une chevelure de rêve, lisse et sans frisotti... - C'est formidable les technologies de nos jours. -

Bref. Jean-Claude, c'est aussi un type super sympa qui a pensé aux blondes et qui a inventé LE masque de mes rêves.
Mais chacun le sait, tout rêve a un prix. Et celui-ci m'a coûté 12 euros !
SCANDALE, horreur et damnation.... 12 euros le masque Biguine, habituellement payé la moitié à 20 mètres du salon de coiffure, dans un grand magasin plus connu sous le nom de Galeries Lafayette. Quelle idée de l'avoir retiré de leurs rayons !!
Elle est bien gentille la coiffeuse, avant de m'annoncer le prix, de me complimenter avec un innocent "Ohh, ce sont des extensions, vos cheveux, ou c'est naturel ?".
Gratification instantanée.. "Non non, ce sont mes vrais cheveux !" (berk, des extensions.. rien que le mot me fait froid dans le dos). Et PAF, dans la tête ! "Ca fera 12 euros" !
Les calculs mentaux s'enchainent... 12 euros, ça fait 6 euros de plus, ça fait, ça fait ... ça fait une crêpe cabécou + une crêpe poire/chocolat au Sherpa, ça fait 6 euros de crédit appels/textos Orange, ça fait une partie de badminton au défunt "Badminton du Lac", ça fait un agrandissement chez Photo Service, c'est une place de ciné tarif étudiant, c'est un petit carnet rigolo de la papeterie "La Mucca", c'est ... c'est plein de petits riens à 6 euros !
Allez, quand faut y'aller, faut y'aller. Après tout, je ne fume pas, je ne bois pas ; mon argent ne part pas littéralement en fumée pour un paquet de Malboro par jour ou une bouteille de vodka par semaine, comme c'est probablement le cas chez beaucoup d'autres alors... Merde ! :p
Jean-Claude, accepte mes 12 euros, c'est de bon coeur que je te les offre !

lundi 5 novembre 2007

De moi pour moi.

Petit mémo hebdomadaire...







* * Quatre photos d'identité... - URGENT ! (éviter le fou-rire avant le clic' du photographe agréé...)



* * Finaliser le dossier d'inscription à l'auto-école (c'est pas gagné)



* * Commencer à réviser le code... (c'est pas gagné... non plus!)



* * Lire "Le Journalisme" de la collection Que Sais-Je



* * Poursuivre le projet photos "hôtes[ses] Direct Soir"



* * M'atteler à la vente massive de fringues et sacs à main superflus sur Ebay



* * M'inscrire au Concours "Feuilles mortes" de Réponses PHOTO



* * Cesser de me coucher à 3h du matin



* * Reprendre le badminton... le piano... le vélo... Prévoir 1h de footing par semaine..



Et autres petits impératifs du genre... :)




ON (n') Y CROIT (pas) ... !


:)


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A suivre.

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Ouf! Je me sens mieux !

samedi 3 novembre 2007

J'avais oublié !

Mon heure de gloire...





Une de mes photos publiée sur le site du Routard.


http://www.routard.com/photos/paris/12363-paris_s_eveille_toujours.htm


C'est la première fois que je vois un VRAI copyright à côté de mon nom !


Et dire que je n'avais pas encore LuLu ! ...